
Les reportages - Par Valentin Bonadei
The Cure Arena Genève
The Cure, groupe mythique des années new wave se produisait à l’Arena dimanche dernier. Avant en première partie, était convié The Twlight Sad, groupe de musique post-punk/indy-rock des années 2000. Ambiance psyché lumières rouges, le chanteur se dandine traverse la scènes de gauche à droite et de droite à gauche en gesticulant comme s’il était habité. On aime ou on n’aime pas. les chansons était étonnantes et intéressantes.
Changement d’horaire de dernière minute était annoncé 19h45, L’écran de la scène montre de la pluie, un bruit de pluie s’installe dans l’Arena de Genève. Robert Smith arrive depuis la gauche côté spectateur traverse à droite puis revient à gauche pour saluer son publique qui « scream » Robert ! Robert ! Les lumières s’éteignent. Le show commence. Grosses lumières, gros son le show semble être maitrisé pour le 21 ème concert de leur tournée européenne commencée le 6 octobre dernier à Riga. Le publique est subjugué dès la première chanson « Alone », ils connaissent, ce sont des connaisseurs c’est sûr. Les mimiques du chanteurs apparemment typiques depuis des années apparaissent comme si elles se figeaient dans le temps. Il a pris un peu d’ampleur comparé aux années du début. Ses cheveux sont plus fins les photos sont belles et nettes. Il y aura eu deux appels pour environs deux heures trente de show qui résume leur carrière. Le dernier titre avec un grand T, ceux que tout le monde connaît. « Boys Don’t Cry.